Le Mirail – « miroir » en occitan – reflète à lui seul les maux des quartiers sensibles et renvoie à la Ville rose, plus habituée aux bons points, l’image d’un ratage urbain : ghettoïsation d’une population issue de l’immigration maghrébine, désarroi social, chômage des jeunes, précarité, pauvreté, violence et trafics en tout genre. Mi-janvier, les chiffres départementaux de la délinquance 2013 sont tombés : pour le seul Mirail, 32 kg de cannabis saisis, 45 armes (blanches et à feu) découvertes et 255 700 euros confisqués.
Publié le 19 février 2014, par Benoît Boissière
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